Sous l’impulsion de la Direction, l’entreprise a mis en place une nouvelle organisation par services, pilotée par des responsables d’activités. Un système d’informations numériques (INTRADIM), notamment de pilotage des plannings et des actions correctives, est en place,
La société DIMECO a besoin d’assurer une montée en compétences de ses managers avec un positionnement clair de leur rôle dans le processus de création de valeur,
Leur pilotage sera ainsi plus efficace et sera basé sur une utilisation des moyens plus maîtrisée,
La performance de l’équipe sera ainsi facilitée dès lors que chaque collaborateur aura une vision précise et partagée des outils de gestion. En ayant le même objectif de performance et de pérennité de l’organisation, le management deviendra un atout majeur et reconnu par tous.
• Priorités divergentes et/ou discordes entre les membres des équipes,
• Encadrement faible (tendance à laisser les collaborateurs sans formation particulière, sans support, sans méthode et sans outils),
• Approche du métier de manager intuitive et sans perception des besoins réels de l’Organisation,
• Méconnaissance du rôle et des responsabilités du manager : par le manager lui-même, par son équipe et par sa hiérarchie,
• Expert technique, mais en souffrance sur les axes de gestion et de management,
• Outils de communication (reporting, réunions, indicateurs, entretien, etc.) avec les équipes, la hiérarchie ou les fonctions support mal définis voire, inexistants,
• Le manager a du mal à tirer son équipe vers le haut (autonomie, initiatives, implication),
• « Tout le monde s’occupe de tout et personne ne s’occupe de rien ! »,
• Travail dans l’urgence, gestion en mode « pompier »,
• Multitude d’actions engagées en attente ou abandonnées en cours de route.
• L’équipe de Direction précise ses objectifs en matière de performance. Elle, analyse l’organisation actuelle et dresse un bilan factuel des compétences clés de ses superviseurs (connaissance du métier, positionnement, profil d’activités). Un diagnostic permet d’identifier les besoins en formation des superviseurs au cas par cas (entretiens, test, mise en situation – individuels) et les opportunités d’amélioration pour l’Organisation.
• Par la suite, les superviseurs sont formés aux Bonnes Pratiques de la Supervision au travers d’un parcours alternant théorie et pratique (rôle et responsabilités du superviseur, système de gestion, agenda de travail, revues de plancher, rituels, démarche de progrès permanent, gestion de conflits). L’expert accompagne les managers individuellement lors de l’implantation des outils sur le terrain. Il les coache sur des situations réelles ou provoquées afin de consolider leurs acquis.
• L’Organisation obtiendra une montée en compétence de ses superviseurs, avec un positionnement clair de leur rôle dans le processus de création de valeur.
• La hiérarchie se recentrera sur ses activités, le superviseur responsabilisera son équipe, les outils de communication sont construits et mis en place.
• Chacun aura une vision claire et partagée des outils de gestion. Chaque manager pilotera efficacement l’ensemble de ses moyens. Tous auront un même objectif de performance et de pérennité de l’Organisation.